MovieCam

Titre : JOKER

Réalisateur : Todd phillips

Année de sortie : 2019

Durée : 2h02

Film déconseillé au moins de 12 ans

Après plusieurs film sur le géant de l'univers de la maison DC comics Batman c'est au tour de son ennemie juré le joker d'avoir droit à son propre film. Cette fois si le Joker interpréter par Joaquim phénix prend les trait d'un Joker réaliste tout comme le joker de Jared Leto qui est dans suicide squad un joker au allure de mafieux plus probable que le joker de jack nicolson par exemple . Même si les fans du personnage ont a jamais l'image presque parfaite du joker de Heath Ledger Joaquim phénix arrive à amener un joker très convainquant et salué par les critique.

Nous avons alors Arthur Fleck un homme s'occupant de sa mère en difficulté qui envoie des lettre à son ancien employeur Thomas Wayne qui ne lui répond pas

Arthur fleck travaille comme clown dans de petit boulot lorsqu’il se fait frappé dans la rue par des voyou on découvre alors que Arthur face au difficulté que lui montre la vie ne peut s’empêcher de rire. Cet handicap amène alors un quiproquo qui fait croire a 3 personnes qu’Arthur se moque d'eux, il se mettent alors a le molester poussant alors Arthur a revivre une deuxième fois cette scène , dégaine alors son arme a feu et tue les trois perssone presque par reflex il commence alors progressivement les trait de cette perssone atteinte de cet handicap pour prendre les trait d'un personnage qu'il sait lui même crée : le Joker 

l'histoire nous fait voir un personnage qui au premier abord et gentil il s'occupe de sa mère et tombe amoureux de sa voisine .Cet homme qui tombe dans une folie profonde à la suite à de nombreux événement, il devient alors méchant, il s’agit d'un des bon point du film, il ne fait pas comme Venom ou suicide squad ou l’équipe ou le héros qui de base est un "méchant" et devient alors "gentil pour le bien de l'histoire. L'univers des super héro étant très binaire dans la vision du bien et du mal que l'on a du mal à imaginer un joker gentil . Ici il a des motivation légitime mais il n'en reste pas moins un méchant . il tue des gens qui lui ont causé du tort, il crée malgré lui un mouvement de rébellions qui le place a la tête du mouvement et décide de devenir le leader de se mouvement ou il deviendra enfin le joker que l'on connaît

Le film rejoint l'idée qu'avait proposée Tim Burton pour le Batman de 1989 cet a dire un joker qui a crée son Batman. 

Ici le joker est assez conforme il lui manque néanmoins sa tonne de gadget ainsi que son ennemi , néanmoins pour une genèse du personnage cela n'est pas nécessaire .Nous avons bien la un esprit tourmenter qui sombre dans la folie et qui décide finalement de l'accepter et de devenir ce qu'il a toujours était : le joker . Il ne correspond pas du tout a se version papier the Killing joke mais le film parvient quand même a nous faire croire que cela correspond au personnage et que seul une mauvaise journée suffit pour faire sombrer quelqu'un dans la folie.

Bande annonce

Note :

Presse : 16/20

Spectateur : 18/20

MovieCam : 16/20